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DES OEUVRES MORALES.

propre, 5 10. — Clairvoyance de l’amour-propre sur ses in- térêts, 563. — Pourquoi nous respectons ceux du prochain , 578. — C’est par intérêt qu’on blâme le vice et qu’on loue la vertu, 597. — Part de l’intérêt dans les victoires, à la guerre, 61 5. — Quand les intérêts par- ticuliers détournent du bien pu- blic, 6^9. — La paresse se rend maîtresse de nos intérêts, 63o. Il faut s’accommoder aux intérêts des aulres, Réflexions diverses, p. 283. — Dans la so- ciété, l’accord des intérêts est nécessaire, p. 285. — Un es- prit adroit avance les siens en ménageant ceux des autres , p. 826. — On peut entendre les affaires sans s’appliquer à son intérêt particulier ; il y a des gens habiles qui n’enten- dent pas leur intérêt ; d’autres, au contraire, qui n’entendent que celui-là, p. 327. — Tous les hommes sont nés intéressés, p. 343. — Le temjjs change les intérêts, p. 345. Intrépidité. Voyez Valeur. — Sa définition, maxime 217. — Elle est nécessaire dans les con- jurations, 614. Intrigue (^galante). Voyez Ga- lant. Ivresse. La jeunesse est une ivresse continuelle, 271. Jacques 11, roi d’Angleterre. Il était d’abord opposé [étant en- core duc d’York) au mariage de sa fille Marie avec le prince Gui Uaume d’Orange, /?c//ex/o«i diverses, p. 339- — Deux jours avant ce mariage, il n’en savait rien encore, p. 3/fo. Jalousie {en général). Voyez En- vie. — La jalousie fut peut-être l’unique cause de la guerre en- tre Auguste et Antoine, maxime 7. — Les hommes nous sont contraires par jalousie, 2H8. Jalousie [dans les affections’). En quoi elle est excusable et dif- fère de l’envie, ma.rïme 28. — Elle se nourrit dans les doutes ; quand elle devient fureur ; quand elle finit, 32. — Son véritable mobile, 324- — Ce qui l’empêche quelquefois, 336. — Dans quel cas il ne faudrait pas être jaloux, 359. — La jalousie naît avec l’a- mour, mais ne meurt pas tou- jours avec lui, 36i. — Pour- quoi les coquettes la feignent, 406. — Ce qui la rend si dou- loureuse, 446. — On n’ose l’avouer, et cependant on s’en fait honneur, 472- — Ceux qui la causent n’en ont pas pitié, 5o3. — Son remède, 5i4. — En quoi une femme jalouse est agréable à son mari, 547. De l’incertitude de la jalou- sie; ses effets; comparée au supplice de Sisyphe, Rc flexions diverses, p. 3oi et 3o2. — C’est une peine attiicliée à la vieillesse de l’amour, p. 3o3. — Quelles maladies elle cause, p. 3ii. Jaixisse. Par quelle passion cette maladie est {)roduite , Ré- flexions diverses.^ p. 3 1 1 . Jean IF, roi de Portugal (d’abord duc de Bragance). Il devient roi malgré lui , Réflexions di- verses, p. 334. Jr.uvESSE, Jeu>tîs gens. Comment la jeunesse change de goûts, maxime 109. — Effet de l’édu- cation des jeunes gens, 261. — Ce qu’est la jeunesse, 271. — De ses passions , considérées