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DES OEUVRES MORALES.

l’amour, yS. — A quoi elle nous sert, i68. — Ce que bien des gens lui sacrifient, 49’- • — Elle est inséparable de la crainte, 5i5. — On n’est ja- mais si beureux qu’on espère, 572. — On borne moins ses espérances que sa reconnais- sance, 617. Esprit, Il est toujours conduit par le cœur, maxime 43- — De sa force et de sa faiblesse, 44. — Rapport du bon sens avec l’esprit, 67. — Ses qua- lités faciles à connaître, 80. — Il n’est pas distinct du juge- ment, 97. — On n’ose dire du bien de son esprit, 98. — En quoi consistent sa politesse, 99; et sa galanterie, 100. — Certaines choses lui viennent tout achevées, loi. — Il est toujours la chipe du cœur, 102. — On connaît mieux son esprit que son cœur, io3. — L es- prit ne peut suppléer le cœur, 108. — Ses défauts augmentent avec l’âge, 112. — Quand un homme d’esprit serait embar- rassé, 140. — Le désir de la louange augmente l’esprit, i5o et 699. — A quoi il faut em- ployer le sien, 174- — Sa fai- blesse produit 1 inconstance , 181^ — Quand s’annonce son déclin, 222. — Sous quel air on cache les défauts de l’esprit, 257. — Ce n’est pas de lui que procède le bon goût, 268. — Sa petitesse produit Topiniàtreté, 265. — Ce n’est pas sa ferti- lité qui nous fait trouver des expédients, 287. — Il a moins de défauts que l’humeur, 290. — Effet de celui des femmes, 340. — Cet esprit (des femmes) n’est jamais réglé, 346. — L’es- prit a des talents cachés, 4o4- — Une seule sorte d’esprit ne suffit pas, 41 3, et Fe flexions di- verses, p. 285. — A quoi il sert parfois, maxime 4 1 5 . — Il four- nit moins à la conversation que la confiance, 421. — La qua- lité de l’esprit qui nous flatte le plus, 425. — Jointe à l’esprit, la sottise est fort incommode, 45i. — On peut être sot avec de l’esprit, 456, et Réflexions diverses, p. 33o. — On ne l’é- tend pas jusqu’où il peut aller, maxime 482. — Il est plus pa- resseux que le corps, 487- — Ce qui fait à la longue qu’il ennuie plus ou moins, 5o2. — Ce qui délivre de ses peines, 535. Il ne suffît pas pour nous conduire dans la société; ce qui y tient unis des esprits op- posés, Réflexions diverses, p. 282 et 283. — L’esprit doit être varié, p. 285. — Les jeu- nes gens prennent un autre es- prit que le leur, p. 287. — Il y a des gens qui ont plus d’es- prit que de goût, et récipro- quement ; il y a moins de ca- price dans l’esprit que dans le goût, p. 3o4. — Les peines de l’esprit produisent les ma- ladies ; quand ces peines ont pris naissance, p. 3io. — De la différence des esprits, p. 325-33i. — Définition d’un bel esprit, d’un esprit adroit et d’un bon esprit, p. 326. — Dis- tinction entre l’esprit utile et l’esprit d’affaires ; l’esprit peut être à la fois sérieux et enjoué, p. 327. — Distinction entre l’esprit fin et l’esprit de fines- se ; entre l’esprit de feu et l’es- prit brillant ; définition de la douceur d’esprit, p. 328; de l’esprit de détail ; pourquoi le bel esprit est tombé en discré- dit; distinction entre les hom-