Page:La Rochefoucauld - Œuvres, Hachette, Appendice du t1, 1883.djvu/87

63 APPENDICE DIT TOME t. ^ BTAT : que noasn^osons découvrir autrement; nous ëlevons la gloire des uns pour abaisser par là celle des autres, et on loiteroit moins Mon- sieur le Prince et Monsieur de Turenne, si on ne les voulok point blâmer tous deux. Dans le I*’ état la maxime 149 est conforme à la définitive gzlt; 1« a’ état aioate à celle-ci toute la czcviil*. On a bit place à l’addition en serrant la composi- tion typographique. h) CLV (i6a). jer ^^^ . qualités bonnes et inestimables. (N<" 44^9 4^0.) a< ETAT : qualités bonnes et estimables. c) CCXV (ia8). i*’btat : sont des extrémités.... L*espace qui est entre les deux.... Il n*jr a pas moins de différence entr*-eux qu*il y a entre les visages et les humeurs, cependant ils conviennent.... relâchent.... ne sont pas égale- ment (sic) maistres.... épouvantes (Wc). (N<> 44^0 a’ ETAT : sont deux extrémités.... respace qui est entre deux.... il n*jr a pas moins de différence entr’elles qu*il y en a entre les visages et les humeurs, cepêdant elles conviennent.... relaschent.... ne sont pas tous- jours également maistres.... espouvantes. I*’ ÉTAT : s’exposer à de plus grands; outre cela, il y a un raport gênerai que l’on remarque entre tous les courages de différentes espèces, dont nous venons de parler, qui est que la nuit augmentant.... (N*’ 445*) a’ BTAT : s’exposer à de plus grands ; il y en a encore qui sont braves à coups d’espée, qui ne peuvent souffrir les coups de mousquet, et d’autres j sont asseures, qui craignent de se battre à coups d’espée. Outre cela, il y a un raport gênerai (/a suite comme élans le V état), i«r ÉTAT : tout ce qu’ils seroient capables de faire dans une occasion: (N.445.) a’ ÉTAT : tout ce qu’ils seroient capables de faire dans une action. I*’ ÉTAT : de sorte que la crainte. (N<> 44^*) a’ ÉTAT : de sorte qu’il est visible que la crainte. J) CCXLI (a63). I*’ ÉTAT : La cocquetterie est le fonds de l’humeur de toutes les femmes; mais toutes ne coquettent pas parce que la coquetterie de quelques-unes...*. (No 445.) a’ ÉTAT : La cocqueterie est le fonds et l’humeur de toutes les femmes ; mais toutes ne la mettent pas en pratique, parce qae la cocqueterie de quelques-unes. • . . e) CCXLIII (a65 et 373). i*’ BTAT, i65 : Il 7 if peu de choses impossibles d’elles-mesmes, et l’aplication pour les faire réussir nous manque bien plus que les moyens. (Nos 445, 446, 449.) — 373 : Il y a peu de choses impossibles d’elles-mesmes, et l’on trouve plus de voyes que l’on ne pense pour y arriver. Et si nous avions asses après, p. 64-65, les ressemblances et dilferenees qui ont été trouvées dans les exem- plaires de texte mixte, de i665, comparés à ceux de MM. de Ruble et Dagnin. I. Les variantes de i*’ état de cette maxime ccxu et de la oclzi* (ci-après, p. 63) avaient été déjà signalées, comme le dit M. le marquis de Granges de Surgères {Revue de Bretagne et de Fendée, août i88a, p. 160), par M. J. le Petit dans les Miscellanées Hbliographiqueâj Paris, Rottyeyre, 1879, p. 49.