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Ko ÀPPENDtGB DU TOME t. Ms. i663 . — G>nfoniie aa mannsorit aatographe, sauf cette Tariante : « est sourent un mojen. » Edit. i664* ~- Conforme à la copie de i663. DCXXUI Ms. Atrr. — • Voyez ci-dessus^ p. 37, la Tariante de la maxime gglxt dont la DGxxm* est la seconde pnrase, jointe par ei dans le texte défi- nitif. DCXXVI Ms. AUT. — La yéritë est le fondement et la raison de la perfection et de la beauté *■ ; car il est certain qu*une chose, de quelque nature qu’elle soit, est belle et parfaite, si elle est tout ce qu*elle doit être, et si elle a tout ce qu’elle doit avoir. Ms. i()63. — Conforme au manuscrit autographe. Edit. i664* — L& yéritë est le fondement et la justification de la rai- son, de la perfection et de la beauté; car il est certain qu’une chose, de Suelque nature qu’elle soit, est belle et parfaite, si elle est tout ce qu’elle oit être, et si elle a tout ce qu’elle doit avoir. Dcxxrx Ms. A17T. — La politesse des États est le commencement de leur déca- dence, parce qu’elle applique tous les particuliers à leurs intérêts propres, et les détourne du bien public. Ms. i663. — Conforme au manuscrit autographe. Edit. i664> ** Conforme au manuscrit autographe. DCXXX Ms. AUT. — De toutes les passions, celle qui est la plus inconnue, c’est la paresse; elle est la plus violente et la plus maligne...; c’est le petit poisson qui a la force d^arrêter les plus grands navires ; c’est unebonace.... et les plus grandes tempêtes. Le repos de la paresse est un charme secret de l’âme.... ses plus ardentes poursuites et ses* plus opiniâtres résolu- tions, et enfin, pour donner la véritable idée de cette passion, il faut dire que la paresse est une béatitude de l’âme, qui la console de toutes ses pertes, et la fait renoncer à toutes ses prétentions. DCXXXI Ms. AUT. — De plusieurs actions diverses que la fortune arrange comme il lui plaît, il s’en fait plusieurs vertus. I. Dans le manoserit aotographe «t dans la copie de i663, ce commencement est dcjà plos haat, comme maxime distincte, sons cette forme : « La vérité est le fon"^ dément et la justification de la {ta, i663] beauté. » a. « Ses » est écrit en interligne, au-dessus de « les » hiîSê^