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TROIS ANCIENS TEXTES DES MAXIMES. 19 CXXV Ms. ATJT. — Gomme la fineBse est PefFet d’un petit esprit, il arrive quasi toujours que celui qui s’en sert pour se courrir en un endroit, se dëcouTre en un autre. Ms. i663. — Conforme au manuscrit autographe. Edit. 1664. — Comme elles ^ sont l’effet d*im petit esprit» il anÎTe quasi toujours que celui qui s’en sert pour se couru: {sic) en un endroit, se découTre en un autre. CXXVI Ms. i663. — Si ^n ëtoit assez habile, on ne feroit jamais de finesses ni de trahisons. Edjt. i664> — Chacun pense être plus fin que les autres^, et si Ton ëtoit habile, on ne feroit jamais de finesses ni de trahison. CXXVIII Ms. AUT. — La subtilitë est une fausse délicatesse, et la délicatesse est une solide subtilité. Ms. i663. — Conforme an manuscrit autographe, sauf cette Tariante : « une subtilité solide. 9 Edit. 1664. — Conforme à la copie de i663. CXXXU Ms. AUT. -^ On est sage pour les autres; personne ne Test assez pour soi-même. CXXXV Ms. AUT. — Chaque homme n’est pas plus différent des autres hommes qu’il l’est sourent de lui-même. Ms. x663. — Conforme au manuscrit autographe. Edit. i664* — Conforme au manuscrit autographe. cxxxvn Ms. AUT. — Quand la vanité ne fait point parler, on n’a pas enrie de dire grand’chose. Ms. i663. — Conforme au manuscrit autographe. Édit. x664* — Conforme au manuscrit autographe. I. Pour « Gomme les finesses ». — Cette maxime et la précédente se suivent im* médiatement dans cette édition, ainsi que dans toutes celles qu’a publiées l’auteur et dans nos manuscrits. a. Voyez ci-après, p. 89, la maxime ccczciT et la note qui 8*7 rapportée