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Cet Avcuu^propos était imprimé , n’attendant plus que le bon à tirer, lorsque nous avons appris Texistence d’un manuscrit apparte- nant à M. Damascène Morgand, libraire-éditeur, et contenant une copie, du dix-huitième siècle, i° des Mcusimes de la Rochefoucauld, a® de ses Réflexions diverses^ 3<* d’un petit traité intitulé de /’//i- consistance^ que Ton ne peut pas attribuer à notre auteur et qui pour- rait bien être l’œuvre du président Denis Talon. M. Morgand, que nous prions d’agréer nos sincères remercîments, a bien voulu mettre ce manuscrit à notre disposition, en nous auto- risant à le collationner et en tirer tout le parti que nous jugerions utile pour notre édition. Nous le décrivons dans notre Notice hiblio- graphique (ci-après, p. io8 et 109, B, n^ a; et p. m, G, n<» 3), et disons là le résultat de notre collation en ce qui touche le texte soit des Maximesy soit des Réflexions diverses. Nous nous contenterons d’avertir ici d’avance que la comparaison ne nous a rien fourni qu’il eût été important de noter, soit au tome I, soit dans les sections de V Appendice qui se rapportent à ces deux textes* Ce qui donne un grand prix à ce manuscrit, c’est que sa première partie est la seule copie dont jusqu’ici nous ayons eu connaissance, et une copie très- fidèle, du manuscrit autographe des Maximes que nous nommons de «Liancourt, » et dont les variantes sont relevées dans la section I de cet Appendice*