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ADDITIONS ET CORRECTIONS. 149 a donne et me fortifie puissamment.» Puis mit ses mains dans ses pochettes pour chercher son mouchoir, afin de se bander, et l*ayant tiré à moitié, il le resserra si bien qu*on ne le rit point, sinon ceux qui étoient près de lui sur l’échafaud, et pria de fort bonne grâce ceux qui étoient en bas de lui jeter un mouchoir. Aussitôt on lui en jeta deux ou trois ; il en prit un, et fit grande civilité à ceux qui lui avoient jeté, les remerciant avec affection.... L* exécuteur rint pour le bander de ce mouchoir, mais comme il le faisoit fort mal, mettant les coins du mouchoir en bas, qui couvroient sa bouche, il le retroussa et sVccommoda mieux. » Quant à Cinq-Mars, dont le supplice avait précédé celui de son ami, le bourreau le frappa du « couperet » sans qu41 eût les yeux bandés. » Page 93. — Ajoutez a la note 3 : a La maxime se lit sous cette forme à la suite d^une lettre à la marquise de Sablé {Portefeuilles de Fallant, tome II, fol. i58); voyez tome III, i** partie, p. ao4. » Page lia, note 3. — Voyez, dans cet Appendice du tome /, p. 58 et 69, la réponse que M. Willems, dans son Étude sur V édition de 1664, fait a la seconde critique de Laharpe, le défaut d’accord ; et, dans la note 6 de la page 58, ce que M. Frédérix, dans un article de Vlndépendance belge^ oppose à la partie de la première qui est relative à Sully. Page 119, note i, ligne 10. — Après : <x d^un fort grand nombre de femmes », ajoutez : <k Déjà J. Esprit avait dit (tome I, p. i34)y car il ne se fait pas faute de se répéter : <( La froideur excessive du tempéra- (( ment est quelquefois la cause principale, pour ne pas dire Tunique, « de rhonnéteté des femmes. » Page ia8, note 1, ligne 17. — Après « mérite. », ajoutez : « Le même J. Esprit dit encore (tome I, p. 19a) : a Les grands découvrent leurs ce plus secrètes pensées pour se décharger le cœur des chagrins et des tf joies quUls ont, qu*il leur est impossible de retenir. » Page i33, note 3, ligne a. — Ajoutez, après a (Manuscrit,) y> : a Cette maxime se trouve sous cette dernière forme dans une lettre à la mar- quise de Sablé (Portefeuilles de Fallant, tome II, fol. 169) ; voyez tome III, i" partie, p. 160. » Page 169, note 3^ ligne a. — ce 1675 », lisez : a 1671 ». Pages ai7-a35. — Maximes posthumes. Voyez, p. 76 et 77 de cet jip- pendice du tome /, section v, le Tableau de concordance B, et les pages 81 et 8a. Pages a37-a67. — Maximes supprimées. Voyez, dans ce même Appendice^ p. 78-80, le Tableau de concordance C, et les pages 81 et 8a. Page a56. — Ajoutez en tête de la note 5, se rapportant à la maxime dciii : a Comparez la première phrase du morceau sur le Comte tCHarcourt^ qui est dans cet Appendice du tome 7, p. 97. » Pages 369-348. — Réflexions diverses. Voyez, dans ce même Appendice^ p. 83-98, sections vi et vii, des variantes et des additions, Tune certaine et d^autres probables (Avant’propos^ p. viii et ix), à la Réflexion xril. Page 355, ligne 19. — A la suite de la Notice du Discours sur les Maximes^ ajoutez : a A la fin de la préface (p. xix) de sa réimpression du texte hollandais de 1664 (voyez ci-dessus, à la Notice bibliographique^ p. i3i, n» 71), M. Pauly cite cet extrait du folio 116 r" d’un manu- scrit intitulé Recueil de diverses choses^ qui avait été donné à Rochebilière par Monmerqué : a Dans la première édition des Maximes^ M. de la Cha- « pelle, qui demeure chez Monsieur le Premier Président, avoit fait la d préface, qui est pleine de fautes. » Du rapprochement de ces mots : « pleine de fautes », avec le passage de la Promenade à Saint-Cloud de Gueret, reproduit au commencement de notre Notice sur le Discours^ on peut conclure que c*est bien à ce Discours que s’applique le mot Préface^ et non à VAvis au lecteur de l’édition de i665. Ce témoignage contem-