ii8 APPENDICE DU TOME I. liminaires non pagines : i pour le frontispice grave, x pour le titre imprimé, 3 pour VAdyU au lecteur (voyez au tome I, p. a4-s8) et 19 pour le Discours sur les Réflexions ou Sentences et Maximes morales^ deux pièces que donnent également toutes les impressions (édition origi- nale et contrefaçons iB à iD) de Tannée i665; i5o pages chif- frées (à a3 lignes la page) pour le texte ^^ et S feuillets non paginés pour la table et le privilège. — 3is maximes ou plutôt 3i4f parce qu’il 7 a un double n® 3oa et de plus la réflexion finale, non nu- mérotée, sur la mort*. Le privilège et Vachevé d^imprimer sont» dans les impressions de i665, qui toutes les contiennent, celui-ci du 14 janvier 1664 (par erreur 1644 àdCOA x C)» celui-là du 97 oc- tobre 1664. Cette édition i A, à pages de a3 lignes, est Téditîon originale. C’était déjà l’opinion du très-expérimenté et regretté bibliographe, feu M. Potier, et M. Claudin en a, à deux reprises’, donné des preuves incontestables. Dans l’édition à pages de 33 lignes (ci-dessous I B), que Brunet {Manuel du libraire y tome UI, col. 844) considérait à tort comme l’originale, l’absence du frontispice, le fleuron de la fin (fleuron du livre ouvert avec la lettre P) et surtout (aux endroits où, dans la plupart des exemplaires de i A qui nous restent, il y a des cartons) le texte même, qui est celui, non pas du premier état, mais du second, décèlent évidemment une contrefaçon. Au sujet de ces cartons et des exemplaires d’un second tirage où Ton a tenu compte des corrections faites sur les cartons, voyez ci-dessus la section iv de VAppenéUcCy p. 6i-65. Dans l’année même où fut publiée l’édition originale, il pamt trois contrefaçons :
B. — Reflexions ou Sentences et Maximes morales. A Paris, chez
Claude Barbin.... M.DC.LXV. Avec privilège du Roy. In-ia; a3 feuillets liminaires non paginés; i35 pages chiffrées (à 93 lignes la page) pour le texte ; 6 pages non chiffrées pour la table alphabétique, et a pour le privilège. Pas de frontispice. — Cette contrefaçon, que Brunet, nous l’avons dit ci-dessus (à propos de I A), regarde à tort comme la première édition, est très-bien imprimée en caractères neufs ; le fleuron du livre ouvert avec la lettre P qui se trouve à la fin est celui de François Provensal, imprimeur de Mgr Pévéque, à Grenoble*. le.-— Reflexions ou Sentences et Maximes morales* A Paris, chez Gaude Barbin.... M.DC.LXV. Avec privilège du Roy. In-ia; 93 feuillets liminaires (à 9a lignes la page); xoo pages chif- frées (à a6 lignes) pour le texte ; 6 pages non chiffrées pour la table I. En réalité 148 et non i5o, parce que les pages 145-146 n’existent pas, par sttlte d’une erreor typographique, dans les exemplaires de i^ état non cartonnés (▼oyes le Catalogue Claudin^ p. aSg). a. Les exemplaires cartonnés renferment en plos nos quatre maximes a85-a88, donc en tout 3 18 (Toyez ci-dessus, p. 63). . Catalogue des livres..,, composant la bibliothèque de M, Fietor Lmzarehef 1868, gr. in-8% i** partie, tome I, n« 987, p. i49-i5o, et Catalogue Raekebilièrey n« 45i, p. a44. . Catalogue Bochebilière, ibidem.
