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tio APPENDICE DU TOME t. des lettres où elles sont insérées, Tindication des folio» du tome II des Portefeuilles de VaUant (fonds français de la Bibliothèq[ue natio- nale, n» 17045) où sont ces lettres. . — Le n^ 18 41 1 du même fonds français contient, parmi des piè- ces de sujets tout différents, une copie intitulée : « Sentences et maximes de morale, par Monsieur D. L. R. — i663. » In-folio, relié en parchemin jaunâtre; a 68 feuillets; e% Magimes Yont du feuillet 29 actuel (il y a un premier numérotage biffé) au feuillet 63. Le millésime de i663 aue porte ce manuscrit est anté- rieur de deux ans à la i" édition donnée par Tauteur, à Paris, en i665, et d*un an à celui de la i’* impression de Hollande, de 1664. Le nombre des Maximes est de 217. Ce volume, qui faisait partie de l’ancien fonds Saint-Germain, sous le n* 56i, porte la même indica- tion de provenance (Coislin et antérieurement Séguier) que la pre- mière des copies des Mémoires mentionnées ci-dessus (p. 106) a la suite du n° 7. — Voyez, dans la section I de cet Appendice (p. i-5o), un relevé complet des variantes de cette copie. . — M. le baron de Ruble possède une copie des Maximes^ inti- tulée «c Réflexions morales », acquise à la vente Rochebilière. M. Claudin, dans son catalogue de cette vente (n" 474» P- ^54), nous apprend que ce manuscrit du dix-septième siècle, volume in-8® de 175 pages, contient 6ao maximes, c^est-à-dire 3oa de plus que la i*** (i665) et 116 de plus que la 5* (1678) et la plus complète des édi- tions publiées du vivant de Fauteur; il ajoute que ces maximes ne lui paraissent pas être toutes de la Rochefoucauld, et qu’en général celles qui sont de lui reproduisent le texte de sa i’* édition (i665). C. RÉFLEXIONS DIVERSES. , — Manuscrit A* (i63) de la Roche-Guyon. Voyez, dans notre tome I, les pages 273-277 de la Notice sur les Réflexions diverses. Petit in-folio, relié en maroquin rouge-brun ; papier du dix-sep- tième siècle, et belle écriture du temps ; 4 ps^ges initiales, non nu- mérotées, dont les trois premières contiennent la note reproduite aux pages citées du tome I; puis 138 pages numérotées (60 à 78 et 95 à 98 sont blanches); à la suite i4 pages blanches non numérotées. En quelques endroits des corrections interlinéaires d’une écriture ancienne, que l’auteur de la note préliminaire affirme être celle de la Rochefoucauld et qui a en effet beaucoup de rapport avec elle ; seulement elle est bien plus fine, comme au reste il le fallait pour tenir entre les lignes. I. Le volame qui contient le maaascrit autographe des Maximes est également cote À dans une note préliminaire (yoyez ci-dessus, p. io8). Cette cote lui a-t-elle été donnée dans uile autre bibliothèque que celle qui est à la Roche-Guyon, ou bien, dans CoUe-ci, les cotes ont-dles été changées et y a>t-il eu successÎTement deux séries dif- férentes de manuscrits ?