TABLEAUX DE CONCORDANCE. 75 f On Toit que les textes antérieurs à i665 ont tous trois une des maximes qui suivent la 297*, et le manuscrit autographe ime seconde, qui y est divisée en deux, la 5o4* «t dernière de 1678. Si nous n*aTons pas continué le tableau jusqu’à la fin sans interrup- tion, c*est que, pour la partie finale, il suffit de faire remarquer que : A l’édition de i66ê>, il manque les maximes 298 à 5o3 de l’édition de 1678 (la 5o4* et dernière de celle-ci y est déjà, mais non numérotée, ce qui fiât que nous ne la portons pas à notre tableau) ; A celle de 1666, il manque les maximes 3oa à 5o3 de l’édition de
;
A celle de 1671, les maximes 841 à 5o3 de l’édition de 1678 ; Et à celle de 1675, les maximes 4i3 à 5o3 de l’édition de 1678; de plus, à la place des deux maximes 37a et 37S de celle-ci, l’édition de 1675 a nos deux dernières posthumes 640 et 641. A partir de 989, il y a identité de chiffres entre les quatre éditions an- térieures à l’édition définitiTe de 1678 : jusqu’à 3oi pour l’édition de 1666, jusqu’à 340 pour celle de 1671, et, aux deux exceptions près que nous Tenons de noter (37s et 375), jusqu’à 4i3 pour celle de 1675’* Il y a aussi presque entière identité de texte ; les deux éditions avant* dernières (1671 et 1675) offrent une seule variante dans la maxime 33xy et l’avant-demière (1675) une en outre dans la maxime 399. I. Pour ne ricB omettre aa sujet de Péditîoii de 1675, ajontons qn’k notre maxime 35o eorrespond aa maxime 45o» ainsi num^tée par erreur pour 35o ; et que, dans la même édition encore, il n’y a pas de maxime 377, mais deux maximes 38o : de sorte que notre 377* correspond à sa 378*; notre 378* ii sa 379"; et nos 379* et 38o« il ses deux 38o«.
