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L’Orpheline.


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Au pied des saints autels j’avais prié longtemps !…
Des cierges consumés la flamme vacillante,
Errant autour de moi, jetait de temps en temps,
Comme un dernier adieu, sa clarté plus brillante ;
Puis, plus pâles ensuite ; ils n’éclairaient plus rien,
Et sur le simple autel les pieuses reliques,
Les images gothiques,
Semblaient fuir, se couvrant d’un voile aérien.