Page:La Princesse Maleine.djvu/241

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LA NOURRICE.

Je n’entends rien.

HJALMAR.

Frappez un petit coup.

Elle frappe trois petits coups.
LA NOURRICE.

Je n’entends rien.

HJALMAR.

Frappez un peu plus fort.

Au moment où elle frappe le dernier coup,
on entend subitement le tocsin, comme s’il était sonné
dans la chambre.
LA NOURRICE.

Ah !

HJALMAR.

Les cloches ! le tocsin !…

LA NOURRICE.

Il faut que la fenêtre soit ouverte.

HJALMAR.

Oui, oui, entrez !

LA NOURRICE.

La porte est ouverte !