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HJALMAR.
Elle n’est plus dans sa chambre ?
LA NOURRICE.
Je ne sais ; elle ne répond pas.
HJALMAR.
Elle dort.
LA NOURRICE.
Il ne veut pas s’éloigner de la porte.
HJALMAR.
Laissez-le ; les chiens ont d’étranges idées. Mais quelle tempête, nourrice ! quelle tempête !…
LA NOURRICE.
Et le petit Allan n’est pas encore couché ?
HJALMAR.
Il cherche sa mère ; il ne trouve plus sa mère.
LE PETIT ALLAN.
Petite mère est pe-erdue !
HJALMAR.
Il veut absolument la voir avant de s’endormir. Vous ne savez pas où elle est ?