qu’on remplira d’eau bouillie, sans les imbiber intérieurement. Sur l’une, on mettra N.° 1, e. b. g. e., et sur l’autre, N.° 2, e. b. g. e., c’est-à-dire, eau bouillie, goudronnée extérieurement.
On imbibera de chaux intérieurement, comme dans les deuxième, troisième et quatrième expériences, deux barriques, qu’on remplira d’eau bouillie, et qu’on goudronnera aussi extérieurement. Sur l’une, on mettra N.° 1, e. b. c. g., et sur l’autre, N.° 2, e. b. c. g., c’est-à-dire eau bouillie, chaulée, goudronnée.
On goudronnera seulement extérieurement deux barriques, qui seront remplies d’eau simple qui n’aura pas bouilli. Sur l’une, on mettra, N.° 1, e. s. g. e., et sur l’autre, N.° 2, e. s. g. e., c’est-à-dire, eau simple, goudronnée extérieurement.
On remplira deux barriques d’eau simple, sans faire subir ni à l’eau, ni aux barriques, aucune préparation, soit extérieurement, soit intérieurement. Cette expérience est un objet de comparaison pour toutes les autres.
C’est à M. de la Peyre, chirurgien de vaisseau, qu’appartient l’idée d’imbiber l’intérieur des futailles d’une eau de chaux vive. J’ai pris de lui le fond de son procédé,