intérieurement imbibées de chaux comme dans le cas précédent. Sur l’une, on mettra N.° 1, e. b. c., et sur l’autre, N.° 2, e. b. c., c’est-à-dire, eau bouillie, chaulée.
Deux autres barriques, étant également imbibées de chaux intérieurement, seront remplies d’eau bouillie, à laquelle on ajoutera quatre onces d’esprit de vitriol par deux cent cinquante pintes d’eau, mesure de Paris. On mettra sur l’une, N.° 1, e. b. c. v., et sur l’autre, N.° 2, e. b. c. v., c’est-à-dire, eau bouillie, chaulée, vitriolisée.
On se contentera de mettre dans deux autres barriques, de l’eau douce, sans la faire bouillir, et d’y mêler quatre onces d’esprit de vitriol par deux cent cinquante pintes d’eau ; on n’imbibera pas non plus ces barriques, de chaux. Sur l’une, on mettra N.° 1, e. s. v., et sur l’autre, N.° 2, e. s. v., c’est-à-dire, eau simple, vitriolisée.
Deux barriques contiendront de l’eau bouillie, à laquelle on joindra quatre onces d’esprit de vitriol, sans autre préparation. Sur l’une, on mettra N.° i, e. b. v., et sur l’autre, N.° 2, e. b. v., c’est-à-dire, eau bouillie, vitriolisée.
On enduira extérieurement de goudron deux barriques,