en mer, avec beaucoup de précision : annoncer que l’astronome Dagelet, membre de l’académie des sciences, a été chargé de diriger ce travail, c’est inspirer la plus grande confiance pour son exactitude, et pour celle des tables et cartes qui en résultent.
Si le journal n’est pas toujours d’accord avec les tables de route et les cartes, c’est parce qu’il n’a pas été possible de retarder l’impression du journal, jusqu’à leur entière vérification. Au reste, ces différences ne sont ni fréquentes, ni considérables ; lorsqu’il s’en rencontre, on doit donner la préférence aux tables, et sur-tout aux cartes, qui ont été dirigées par le premier hydrographe de la marine, Buache, membre de l’institut national et du bureau des longitudes. Je dois ici un hommage particulier aux soins qu’il a bien voulu se donner pour me seconder dans cette partie importante.
Dans tout le cours de l’ouvrage, les longitudes qui n’ont aucune indication de méridien, sont comptées de celui de Paris.