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barassa de tout ornement superflu. Un simple ruban retenait tous les cheveux qui s’échappèrent en boucles flottantes. On y ajouta seulement une rose que j’avais cueillie dans le jardin, et que je tenais encore par distraction : une robe ouverte remplaça tous les autres ajustemens. Je l’avoue, mon imagination dévorait encore tous les appas que recèlait seule cette simple robe.

Il n’y avait pas un nœud à toute cette parure : je trouvai madame de Terville plus belle que jamais. Un peu de fatigue avait appesanti