Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/85

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 71 )


çaient à nous séparer demain, notre bonheur, ignoré de toute la nature, ne nous laisserait, par exemple, aucun lien à dénouer : quelques regrets, dont un souvenir agréable serait le dédommagement, et puis, au fait, du plaisir sans toutes les lenteurs, le tracas et la tyrannie des procédés d’usage. »

Nous sommes tellement machines (et j’en rougis) qu’au lieu de toute la délicatesse qui me tourmentait avant les énivrantes scènes qui venaient d’avoir lieu, j’entrais au moins pour moitié dans la har-