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rieuse. On osa même plaisanter sur les plaisirs de l’amour, l’analyser, en séparer le moral, le réduire au simple, et prouver que les faveurs n’étaient que du plaisir ; qu’il n’y avait d’engagemens réels (philosophiquement parlant) que ceux que l’on contractait avec le public, en le laissant pénétrer dans nos secrets, et en commettant avec lui quelques indiscrétions. « Quelle douce nuit, dit-elle, nous venons de passer par l’attrait seul de ce plaisir, notre guide et notre excuse ! si des raisons, je le suppose, nous for-