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cette imperturbable forge. Une langue,
(le dard de l’amour) qui se
glissait le long de mes joues, entre
mes lèvres impatientes de la sucer,
me lançait le nectar et l’ambroisie.
Bref, cette langue si suave et si
douce, cette gorge si ferme et si
ronde, ces reins si agiles, cette
croupe merveilleuse, ces cuisses si
mobiles, si polies, ce poil noir
comme du jais, et mutin comme un
ressort, ce réduit secret de tous les
plaisirs, humecté de toutes les larmes
de l’amour fortuné, et au par-dessus,
l’être incompréhensible qui