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transports, une de mes mains passées
le long de sa cuisse, agitait doucement
le bas du promontoire qui
couronnait le sanctuaire de l’amour,
dans lequel j’étais, comme à poste
fixe, tandis que l’autre main, errante
sur deux tetons placés à égale
distance, en chatouillait alternativement
les deux effrontés boutons.
La douce fraîcheur du zéphir, auquel,
à des intervalles marqués,
le mouvement bien ménagé de ses
formes élastiques donnait passage
entr’elles et le haut de mes cuisses,
nourrissait admirablement le feu de