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celui-ci. Si, d’un côté, on veut
donner ce qu’on a laissé prendre,
on veut, de l’autre, recevoir ce
qu’on a dérobé, et de part et d’autre
on se hâte d’obtenir une seconde
victoire, pour s’assurer de sa conquête.
Telle est la marche de l’amour.
Tout ceci avait été un peu brusqué : nous sentîmes notre faute ; nous reprîmes ce qui nous était échappé, avec plus de détails. Trop ardent, on est moins délicat : on court à la jouissance, en confondant tous les délices qui la précè-