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bras ; tantôt cachant sa tête dans mon sein, tantôt me découvrant tout-à-fait, pour imprimer sur ma poitrine mille baisers de feu. Son extrême passion ne dédaignait pas de les faire partager à l’instrument de nos plaisirs, que ses aimables morsures et ses vives caresses ne manquaient pas de ranimer ; elle soupirait et se calmait à mes approches ; elle s’affligeait, se consolait, et demandait de la volupté pour tout ce que la volupté venait de lui ravir.

Cette volupté qui l’effrayait dans un autre tems, la rassurait dans

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