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robé quelques transports, je vous rends à elle, plus tendre, plus délicat et plus sensible.
« Adieu, encore une fois. Vous êtes charmant !… Ne me brouillez pas avec madame d’Arbonne. » Elle me serra la main, et me quitta.
Je montai dans la voiture qui m’attendait ; je cherchai bien la morale de cette bizarre aventure, et… je n’en trouvai point.
FIN