Page:La Nuit merveilleuse ou le Nec plus ultra du plaisir, 1800.djvu/127

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 113 )


madame de Terville. Il doit faire jour chez elle. J’ai dit que j’arriverais de bonne heure. Décemment, il faudrait commencer par le mari ; viens chez toi ; je veux m’ajuster un peu. On t’a donc bien pris pour un amant ? — Tu jugeras de mes succès par la réception qu’on va me faire. Il est neuf heures, allons de ce pas chez monsieur. » Je voulais éviter mon appartement, et pour cause. Chemin faisant, le hazard m’y amena. La porte, restée ouverte, nous laissa voir mon valet-de-chambre, qui dormait dans un

K 3