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rois, m’avertit qu’il était tems d’ouvrir la tranchée. Alors, faisant voler les jupes de mademoiselle Rosalie par-dessus sa tête, mes yeux enchantés, éblouis, se repaissent avec avidité de l’aspect des appas les mieux façonnés qu’ait jamais touchés la main d’un connaisseur. Figurez-vous deux colonnes du plus bel albâtre et du poli le plus exquis, surmontées de nombreux festons du plus beau jais, découpés admirablement autour du portail du temple de l’amour, et s’allant perdre insensiblement (quittons ici la figure)