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ne voyait intérieurement aucune lumière. Une lueur douce et céleste y pénétrait, selon le besoin que chaque objet avait d’être plus ou moins apperçu. Des cassolettes exhalaient les plus agréables parfums ; des chiffres et des trophées dérobaient aux yeux la flamme des lampes qui éclairaient d’une manière magique ce lieu d’enchantemens et de délices.

Le côté par où nous entrâmes, représentait des portiques en treillages ornés de fleurs, et des berceaux dans chaque enfoncement.