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THÉRÈSE.

Ce ſeroit à ne jamais finir, ſi je voulois entrer dans le détail de toutes les manœuvres lubriques, que nous mîmes en uſage cette Religieuſe & moi, pour égayer nos ſens, & pour nous dédommager amplement des ſoucis & des peines qu’on éprouve dans le Célibat.

Je croirois cependant fruſtrer mon Lecteur, ſi je lui célois l’anecdote ſuivante.


La Nouvelle Thérèse, ou la Protestante philosophe, 1774, vignette fin de chapitre
La Nouvelle Thérèse, ou la Protestante philosophe, 1774, vignette fin de chapitre

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