Page:La Motte-Fouqué - Ondine, Hachette, 1913.djvu/56

Cette page a été validée par deux contributeurs.

chère Ondine ; et celle-ci, escortée du chevalier, regagna la maison familiale où la vieille femme du pêcheur lui fit fête le plus admirablement du monde.

Là-dessus, le temps se remit au beau ; l’orage cessa, la tempête se calma ; des oiseaux dans les arbres célébrèrent par des chants cet apaisement de la nature redevenue harmonieuse.

Et, comme Ondine insistait encore pour entendre l’histoire promise, Huldbrand commença son récit de la manière suivante.