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d’une ressource permise & autorisée par l’amour ! Quels seroient donc vos préjugés, si, comme tant d’autres femmes, vous aviez le malheur de n’être que belle ! Ah ! croyez-moi, chère amante, tout est femme dans ce qu’on aime ; l’empire de l’amour ne reconnoît d’autres bornes que celles du plaisir. Je te rends, amour, le pinceau que tu m’as prêté, fais-le passer en des mains plus délicates ; & toi, reste à jamais dans mon cœur.


FIN du Tome troisième & dernier.