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tire la quintessence de la volupté ; ma langue vacille sur son clit…, que je ne quitte un instant que pour la plonger à plusieurs reprises dans la route du parfait bonheur, et y revenir ensuite. Bientôt nos forces nous abandonnèrent, et nous succombons sous le poids de cette délicieuse jouissance.

Le lendemain Agathe vint se mêler à nos plaisirs ; nous imaginâmes une autre posture que voici : après nous être mis nuds tous les trois, j’étendis Agathe sur le lit de maniere que ses fesses posoient sur le pied, et que ses jambes étoient soutenues sur deux chaises écartées l’une de l’autre, ce qui lui tenoit les cuisses très-ouvertes ; de cette maniere sa tête n’alloit que vers la moitié du lit ; la Duch… occupoit l’autre moitié ; ses fesses étoient appuyées contre la tête d’Agathe, et sa toison lui formoit une