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j’y suis d’ailleurs obligé par la reconnoissance. Quant à la duch… de Pol…, femme flétrie, et exécrée par-tout où il y a des honnêtes gens, je ne puis, en la nommant, lui faire aucun tort. Depuis long-temps elle n’a plus de réputation à perdre.

Quoique, jusqu’ici, je t’aie fait passer en revue des scenes bien licencieuses, ce n’est cependant rien en comparaison de celles qui me restent à te raconter Je te ferai parcourir tous les degrés du libertinage, et je ne m’arrêterai qu’au nec plus ultra de la dissolution la plus effrenée.

Avant de quitter la duc… de Pol… elle me recommanda de bien m’observer devant son amie, qui seroit une femme perdue, si je ne gardois pas le plus grand secret, son mari étant jaloux et brutal