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un superbe corps de femme, nud, sans vouloir de rechef lui rendre le tribut d’hommages qu’il méritoit. J’admirois la beauté de ses formes, une gorge divine… Ses cuisses écartées me laissoient entrevoir l’intérieur de cette partie que je venois de fêter avec tant d’ardeur. Sa couleur eût effacé celle du plus beau carmin. Ses deux levres, garnies d’un poil noir, contrastant admirablement avec la blancheur de sa peau, s’entr’ouvroient fréquemment, et sembloient me faire un défi. Déjà elle commence à reprendre ses sens ; ses yeux se fixent sur moi avec une espece de honte : mais que je l’eus bientôt dissipée ! Je m’élance dans ses bras, et nous nous plongeons de nouveau dans un fleuve de délices. Nous ne cessâmes nos ébats que lorsque nos forces épuisées mirent obstacle à nos desirs… nos corps étoient plutôt