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d’agir plus sérieusement ; je m’étends sur elle, et je pénetre avec vigueur dans la place. Mais, ô dieux ! quels sont les transports de mon amante ! Elle se livre à mes carresses avec fureur ; elle suce, elle mord toutes les parties de mon corps auxquelles sa bouche peut atteindre. L’excès du plaisir l’emporte… Elle ne se connoît plus. Fortement serré dans ses bras, ses jambes entrelacées sur moi, nos deux corps n’en forment plus qu’un. Quelle précipitation ! quelle agilité dans les mouvemens !… Mais ils redoublent encore ; ce ne sont plus que des soupirs entrecoupés… Je sens moi-même que les sources de la suprême volupté sont prêtes à s’ouvrir. Tous deux ensemble nous joignons le but… Ah !… cher… che… valier…, que je t’aime… mon… ame… tu me tue… va… va… oh !… c’en est… trop… je…