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La suite de mon histoire te prouvera si j’avois raison. Mais ne nous écartons pas de mon sujet.

À peine vis-je que nous étions seuls, que je dénouai la ceinture qui empêchoit sa gaule de s’ouvrir. N’étant plus retenue, elle tombe à ses pieds. Je ne trouve plus d’autre obstacle qu’une chemise si fine, qu’à peine paroissoit-elle en avoir : bientôt elle est enlevée elle-même, et je tiens nue dans mes bras mon adorable maîtresse.

Pourrai-je jamais t’exprimer la blancheur, le satiné de sa peau, cette gorge divine sur laquelle sont posés deux jolis boutons de rose, l’élégance, la souplesse de sa taille, le contour, la fermeté de deux fesses dont la partie supérieure forme la chûte de reins la plus admirable, la rondeur de deux