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rer dans la route des plaisirs, lorsqu’elle me parla en ces termes :

« Écoutez moi, chevalier, et ne m’interrompez pas. Asseyez-vous, et faites attention à ce que je vais vous dire. Je vous connois, et n’ignore pas vos liaisons avec la princesse d’Hé… Je sais que vous ne l’avez pas vue depuis l’instant où vous m’avez rencontrée. J’exige de vous la promesse que vous ne la reverrez jamais… J’allois lui en faire le serment, mais elle ne m’en donna pas le tems, en me mettant la main sur la bouche, et elle continua… Mais vous ignorez qui je suis, et je veux que vous l’ignoriez jusqu’à ce qu’il me plaise de vous l’apprendre. Je vous prie donc de ne faire aucunes démarches pour le découvrir. Ne cherchez pas à pénétrer un mystere que je ne veux vous révéler que lorsque je serai