long-tems qu’on peut, un Duc de ***
parce qu’il eſt la perle des hommes à
bonnes fortunes. On a ou l’on fait ſemblant
d’avoir Blancheville, parce qu’il
a des talens enchanteurs ; on a des
complaiſances pour un F… pour un
T…, parce que le renom de gouverner
ces importans entraîne celui d’avoir
une certaine influence dans la
diſtribution des graces de la Cour…
Quant à un petit Prieur moitié bel-eſprit,
moitié aventurier, qu’en faire ?
— Croïez que le petit perſonnage, de
lui-même, ſçait ſe mettre aſſez à ſa place,
pour ne pas s’expoſer aux dangers
de certaines vues et de certaines rivalités…
Faut-il finalement vous livrer
ſon ſecret ? Souriant.) C’est un amateur
de bénéfices, et dans le cours des mouvemens
qu’il ſe donne à pouſſer ſa pointe
parmi des femmes telles que moi…
J’entends… il peut attraper quelque