S’il ne lui a pas appris son métier, cet élève peut retourner chez son père.
Si un homme qui a pris un petit en adoption et l’a élevé, ne l’a pas compté avec ses propres enfants, cet élève retournera chez son père.
Si un homme qui a pris un petit en adoption et l’a élevé, fonde une famille et ensuite a des enfants, et s’il se dispose à renier (arracher) l’adopté, cet enfant n’ira pas son chemin ; le père qui l’a élevé lui donnera un tiers de part d’enfant sur sa fortune mobilière, et alors il s’en ira. Des champ, verger et maison, il ne lui donnera rien.
Si un enfant de favori ou un enfant de femme publique dit à son père qui l’a élevé ou à sa mère qui l’a élevé : « tu n’es pas mon père, tu n’es pas ma mère », on lui coupera la langue.
Si l’enfant d’un favori ou celui d’une femme publique a connu la maison de son père, et a dédaigné le père qui l’a élevé et la mère qui l’a élevé, et s’en est allé à la maison de son père, on lui arrachera les yeux.