moins que le mari ne laisse vivre sa femme, et que le roi ne laisse vivre son serviteur.
Si un homme a violenté la femme d’un homme qui n’a pas encore connu le mâle et demeure encore dans la maison paternelle, s’il a dormi dans son sein, et si on le surprend, cet homme est passible de mort, et cette femme sera relâchée.
Si le mari d’une femme l’a incriminée, et si elle n’a pas été surprise dans la couche avec un autre mâle, elle jurera par le nom de Dieu, et elle retournera à sa maison.
Si à propos d’un autre mâle, le doigt s’est levé contre la femme d’un homme, et si elle n’a pas été surprise avec un autre mâle dans la couche, à cause de son mari, elle se plongera dans le fleuve.
Si un homme a été fait captif, et s’il y a de quoi manger dans sa maison, et si sa femme est sortie de la maison de son époux, est entrée dans une autre maison ; parce que cette femme n’a pas gardé