remplacera tout ce qu’en dépôt on lui avait remis et qu’il a perdu, et dédommagera intégralement le maître des biens. Le maître de la maison recherchera son avoir perdu, et le reprendra sur son voleur.
Si un homme dont la chose n’est pas perdue prétend qu’elle est perdue, exagère son détriment ; s’il poursuit devant Dieu (la réparation de) son détriment, bien que sa chose ne soit pas perdue, — lui-même (le réclamant sans droit), tout ce qu’il a réclamé doublera, et à son propre détriment donnera[1].
Si un homme a fait lever le doigt contre une prêtresse ou la femme d’un autre, sans la convaincre de tort, on jettera cet homme devant le juge, et on marquera son front.
Si un homme a épousé une femme et n’a pas fixé les obligations de cette femme, cette femme n’est pas épouse.
Si la femme d’un homme a été prise au lit avec un autre mâle, on les liera et jettera dans l’eau, à
- ↑ Séparer ubar de šuma. Šuma « celui-là » c’est-à-dire : celui qui réclame sans droit, cf. § 125..