Jean-Baptiste Cupis, frère de la Camargo, lieutenant des chasses de Vinceuues, violoniste et horticulteur. — Sa brillante technique. — Joseph Canaras, maitre de musique du prince de Carignan. — Antoine Dauverfjne. — Sa jeimesse à Clermont-Kerrand ; il entre à la musique royale et à l’orchestre de l’Opéra. — La Querelle des Boutions et les Tro’/ueurs.
— Dauvergne codirecteur du Concert spirituel et surintendnnt de la musique du roi.
— Ses deux premières directions de l’Opéra ; — les œuvres de Gluck. — DiCticuités à l’Opéra et démission de Dauvergne. — Sa troisième direction. — La Hévolution ; il quitte Paris et meurt à Lyon. — Son œuvre de violon ; intluence de Locatelli et prodromes glockistes 77
CHAPITUE }i
L’Art conteiiiporaiii des Pièces en concert de Rameau.
Quelques artisans du style rocaille.
SOMMAIRE
Louis-Antoine Trai’eno/ ; ses démêlés avec Voltaire et .Moudonville. — Jean tertiaire et la pratique des cordes ravalées. — François Hanoi. — Jean-Philippe Rameau et ses Pièces en concert. — Le menuet et le concerto de violon d’André-Josep/i E.vaudel. — La. Citasse de LeBlanc. — André-iNoël Pagiu, élève de Tartiui et musicien du comte de Clermont ; ses sonates. — Charles-Antoine Blanche ; û laisse un concerto de violon. — Jacques-Philippe Lamoninarij, musicien de Valenciennes ; il subit l’intluence de la symphonie italo-allemaude. — Les frères .Miroglio ; cadences de violon, tendances manuheimistes.
— Sohier l’aine 130
CHAPITUE X
L’Abbé le fils et les progrès de la technique.
Tendances romantiques.
SO.^iMAlHK
L’Aljlje’ le fils ; son origine languedocienne ; musicieu de la Comédie française, puis élève de Leclair. —Ses débuts au Concert spirituel. — 11 se livre à l’enseignement. —Son mariage. — L’Abbé ai théâtre de la Uépublique et des Arts. — Sa mort. — Sonates,