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cette gorge que tu prends trop de soins à cacher. (Antoinette ôte elle-même le fichu de Made. de Lamballe). Reçois ce baiser sur tes lèvres merveilles… Ah ! ma divine amie, tu as de si jolis tetons, et tu les couvres de la sorte ! viens un peu sur ce canapé ; je veux les examiner.

La Pe. de Lamballe.

Les vôtres sont au moins aussi beaux. (Elles tombent ensemble sut le sopha).

Antoinette ivre d’amour.

Déshabille-toi, ma belle compagne, afin que j’admire en détail toutes les parties de ton superbe corps. Que tu es aimable et jolie !… que tes fesses sont amoureuses !… elles tremblent de volupté. Enfonce ton doigt plus avant dans ma matrice. Je n’en puis plus…, mon amie, je me meurs.

La Pe. de Lamballe.

Aimable coquine, tu prends bien du plaisir, quand on te brandouille la motte. Que tu remues agréablement la charnière ! va toujours : le foutre coule de