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la nature a laissée entre ces deux côtes opposées du Groënland, il n’y a pas de plus court moyen que de bâtir un comptoir à la pointe méridionale qui lie ces terres, et de multiplier ces postes de correspondance sur la côte orientale, quand on l’aura découverte, en sorte qu’ils soient assez voisins pour se prêter une mutuelle assistance, au cas que les vaisseaux ne puissent pas aborder tous les ans à l’est du Groënland.


FIN DU VINGTIÈME VOLUME.