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défensive, les ennemis sont accablés de tes traits, tes glaives d’acier bruissent en entamant leurs armures ! Partout où le puissant taureau se rue, partout où brille son cimier d’or pur, on voit les crânes infidèles des Polovtsi fendus sous leurs casques ovariens par les lames tranchantes de tes soldats ou par ton glaive, intrépide Vsevolod !
Ô frères ! quel épouvantable carnage, on dirait qu’il n’a plus souci ni de ses jours, ni de sa gloire, ni de sa forteresse de Tchernigow, ni du trône d’or de ses aïeux, ni des vertus ni des charmes de sa fidèle épouse, la belle Gliebowna !
Ils sont passés les temps glorieux de Troïan, les années du règne de Iaroslav sont passées, et les armées invincibles