Page:La Gerbe, nouvelles et poésies, tome 2, série 1, 1859.djvu/120

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

on l’avait oubliée au milieu du bonheur général.

— Qu’as-tu donc, ma bonne  ? demanda la gracieuse Anina à sa vieille et dévouée servante. N’es-tu pas heureuse, toi aussi, maintenant que te voilà certaine de ne jamais nous quitter…

À partir de ce moment, Betty eut plus d’appétit à elle seule que tous les autres ensemble.

Camille Bias.