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C’est ainsi que goûtant des plaisirs d’abondance,
Vinrent des héritiers, de royale naissance.
— Fouteurs, dévots, Ribauds, tout en nous couillonnant,
En lisant mon ouvrage, ayez le vit bandant,
Patinez un beau con, pressez de belles fesses,
Il est des cons bourgeois, primant ceux des Princesses.
On fout tout aussi bien au bordel qu’à la Cour ;
Et bien plus librement, on satisfait l’amour.
Or choisissez des cons, qui soient à toute épreuve,
La béauté ne doit pas, pour bien foutre, être neuve,
Mais elle doit jouir des fleurs de la santé,