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De vrai boyau ; l’odeur me le témoigne assez.
En disant ces mots, il se jette
Sur l’arc qui se détend, et fait de la sagette[1]
Un nouveau mort : mon loup a les boyaux percés.
Je reviens à mon texte. Il faut que l’on jouisse ;
Témoin ces deux gloutons punis d’un sort commun :
La convoitise perdit l’un ;
L’autre périt par l’avarice.

fin du huitième livre
  1. Flèche.