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POESIES DIVERSES. 8 Fait-connoItre que ceux qui 'sour pins assk ,l'aimav; ie fus heu'reax; tu me fus fa(I'abte ED un'fi 'oth i'estois de .tes d(ns inca[able. Cloris vt un nit; ie crns. qu'elle avo. it Innocent Ah lDourqu,oy h/ttoil~on m'ou Cloris 'se pressa tro:p; au contraire Amarille Attendt trap :ongemps ./ se 'rendre facile.. UD 'an sesto]t 'dia sans faveurs.'&oul Q.,uand laD'oux d,e la belle a. Ux 'chanips 6sta'nt J appe'rceus -da,ns les yeux d Amanlle gagnee Que l'.heure du Berger '.esoit .pas ?loignae. Elle fit un softpit; pu[s tilt en rougssant: Je ne vous aime pont; vous estes trop pvessanx Venez sur le minuit, et qu'aucu'n 'ne vous voye .0Luel Areant n'auvoit crfi tenir alors sa 'p'roye? En ft~il .iarnais un que l'on vit apprachyr.. Plus p.'& d,u :ban momen,t sans y ?vuvor aacner. Amarfile m ai, moit; elle s estoit 'rendn Apres un .an de soi.ns, et' de pei'ne assJdu& Le3 chagrins dun jaloux irritoient nos &sirs Nos maux no.u,s p.romettoient des b[ens et des La nuit que .j attendois tendit en.fin ses voiles, Et me d&oba :mesme aux ',eux de ses toiles; Ny joiieur, ny filou, ny 'chen ne me troubla. J'approchay du 'logis, on vint, on me parla, Ma fortune ce coup me sembloit assur&. Venez dema{n dit-on la clef s'est .gar&. l;e lendemain l'poux se t.rouva de retour.. Et bien, me plaSns-je tort?'me jous-tu pas Amotr. Te souvent-il encor de certain.e 13e'rgere? On la noraroe Philis; elle,est un peu !egere Son coeur estoupc;onn d avoir lus d vainqueue; Mais son visage fait q.u'*on pardonne,l so'n Nos nous trouvfimes seuls;,la,pudeur et la .c'r:fite De roses et'de lis .fi .l'envy t'avoent peinte. ' d e triomphay des lys et du. cceur dks 1 abor ; Le reste ne tenoit .q,u'h quelque rose encor: Sur le poinct que j allois surmonter cette honte