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POESIES DIVERSES. 47 Sert aux coupables de dfense PrOs d'un courage genereux Permets qu'Appollon t'importune; Non pour les bens et la fortune. Mais pour les iouri d'un malheureux. Ce triste obiet de ta colere N'a-t-il point encore effac Ce qui iadis t'a pt,d,plaire Aux emplois oh tu I as plac. Depuis le moment qu'il sofipire Dehx f0is l'hyver en ton empire A ramen les Aquilens; Et nos climats out vt l'anne Deux .lois de. pampre couronne Enrichir c6taux et valons. Oronte seul, ta creature, Languit dans un profond ennuy, Et les bienfaits de la nature Ne se rp,a, ndent plus pour luy. Tu peux dun clat de ta foudre Achever. de le mettre en pondr. e; Mais si les Dieux & ton pouvor Aucunes bornes n'ont rbcrites. Mons ta grandeur a de hmtes, Plus ton courroux en doit avoir. Reserve-le pour des rebeiles; Ou si ton penpie t'est sofimis, Fais-en vo[er les 8tincelles Chez tes superbes ennemis. D6ja Vienne est irritSe De ta gloire aux astres montSe; Ses Monartues en sont jaloux: Et Rome t'ouvre une carriere Oh ton ceur trouvera marlere