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oo AODITIOS nous nous sommes laiss6 ertlrather la suite de Walckenar. Ces vets faisaient partie d'un divertissement compos6 dans une r6union dont les frres Simon, de Troyes, qui remplissaient deux des premiers emplois des Fermes, 6taient les membres les plus distingus et les plus actifs. , Grosley, qui nous a transmis ces renseignements, s exp.rime ainsi au sujet de cette joyeuse et aimable coterie: e Elle m'est connue, et par les M6moires de mort pete qui I'avoit rue encore existante, et par un monument, c'est--dire par les paroles imptire,es d'un Ballet qu'elle donna sur la Pat'x de Nimegue en 1678, ballet 1ont la danse et le chant furent xcuts par les membres de la cotterie. (( II dbute par une entr6e de l'Harmonie descen'dant du ciel pour annoncei le retour de la Paix. La Discorde et les Eumnides, allarm6es de cette nouvelle, complottent pour se maintenir. Entrde I1. La Paix paroR, dissipe leurs.' cornplots, et les met en fuite. Entrte 11I. Les nations rapptoches par la Paix mlent leurs danses et leurs phisirs. Entrde IV. Le Commerce, t0ujours jeune sous un habit antique, marquel'intrt qu'il prend t la runion des nati6ns. Entree V. L'abon-dance survient, et se joint au commerce. Entree VI. Des betgets et des bergeres viennent prendre part I'al16gresse publiqueYEntrte Vll. Les Jeux, .repr6sent6s par 'le valet de carreau, la dame de pique, et par une danse en chiquiet, se mettent de I--partie. Entrde VIII. Les Phisirs de I'esprit, reprisentis par un gnie, repa~ roissent sur la terre. Entrte IX. Les Phisirs de la t. Lettre sur 14. Simon de Troyes. Journal encycloptdiqu.e et universel, ann6e 1777 t. II, p. t2.4-t:Jo. voyez auss tVouvelles oruvres indites de La Fontaine, publi6es. par M. Paul Lacroix, p. t45-t48.